MIEUX S’OUTILLER POUR PERFORMER
Ça ne chôme pas à la Ferme Fran-Cler. En plus de leur production laitière de 100 kg/jour, leurs 300 hectares de terre et leur production de sapins de Noël, David Gouin et son frère Carl produisent du foin de commerce depuis bientôt six ans. Grâce au Séchoir AGL et à la Sonde AGL, ils gardent le cap et rentabilisent leurs récoltes.
« On a longtemps eu des problèmes avec la deuxième coupe. Comme les journées sont plus courtes, les balles ont du mal à passer de 22% à 15% d’humidité au champ, explique le copropriétaire, David Gouin. On arrivait à les vendre en balles enrobées, mais ce n’était pas idéal par rapport à la qualité et la rentabilité. »
Pour résoudre le problème, ils ont opté pour l’installation de deux Séchoirs AGL qui leur permettent d’atteindre le bon taux d’humidité, peu importe la température extérieure. « Nos séchoirs sauvent not lots quand on se fait surprendre par la météo », précise-t-il.
Moins de gaspillage, plus de qualité
Au printemps 2021, les producteurs ont inauguré un tout nouvel entrepôt et en ont profité pour faire la location annuelle de quinze Sondes AGL.
« Avant, je testais mes balles manuellement, mais c’était impossible de savoir ce qui se passait au cœur de la pile. Même si tout semblait normal, je n’avais pas l’esprit tranquille, confie David Gouin. Depuis que j’ai mes sondes, je dors en paix. »
Ce qui était avant tout une mesure de sécurité s'est avéré être un précieux outil de tous les jours. Selon le producteur, les graphiques et les données générés par l’application AGL 360 sont précis et d’une grande utilité. Ils lui permettent d’observer en tout temps ce qui se passe dans son entrepôt et d’intervenir en cas de besoin.
« Le Séchoir AGL et la Sonde AGL nous ont permis d’avoir l’esprit tranquille et de rentabiliser nos récoltes. Juste pour ça, ça vaut l’investissement ! »
- David Gouin
LES BONNES DONNÉES FONT LES BONS RENDEMENTS
Jean Laliberté est producteur de grandes cultures, foin et grains, et fait du pressage à forfait
dans la région de Saint-Hyacinthe. Son travail exige des suivis de production rigoureux
dans les champs de ses clients. Il doit aussi gérer efficacement la quantité de Solution Foin utilisée.
Depuis qu’il a installé son Compteur AGL, il peut enfin tenir des registres précis
qui facilitent la gestion et la facturation de ses travaux.
Avec sa conjointe Nathalie, Jean Laliberté exploite la Ferme Gillal. Les 125 hectares de terre de l’ancienne ferme laitière sont consacrés à la production de foin en rotation avec les cultures de grains.
Par le passé, quand venait le temps du pressage, mesurer exactement la quantité de Solution Foin utilisée dans les champs de ses clients prenait beaucoup de temps au producteur.
« Il fallait sortir du tracteur, attendre que la Solution Foin arrête de bouger dans le réservoir, puis regarder combien il en restait. Ensuite, en faisant des calculs, on arrivait à connaitre le nombre de litres par balles, mais on ne pouvait pas le corriger en cours de route », explique-t-il.
Après avoir travaillé tout l’été avec le Compteur AGL et l’application AGL 360, Jean Laliberté est convaincu : il a enfin trouvé la solution à ses problèmes.
« Grâce aux données qui s’affichent en temps réel sur mon application AGL 360, je sais précisément combien de litres de Solution Foin j’applique par balles et par tonnes, pour chacun de mes clients », précise-t-il. Il peut également consulter l’historique de ses données de production.
Les avantages se font ressentir d’un côté comme de l’autre. « Mes clients paient le juste prix. De mon côté, je n’ai aucune perte et la facturation est beaucoup plus précise ! »
Satisfait, le producteur n’hésitera pas à réutiliser le Compteur AGL la saison prochaine. « En 2020, pour être rentable, il n’y a plus de place aux approximations. Ça prend des technologies de suivi comme le Compteur AGL. Ça facilite notre travail, et des outils comme ça, c’est très rare dans le foin. »
LA PAIX D’ESPRIT
Réjean Patenaude est producteur de foin de commerce à Saint-Alexandre-d’Iberville. Avec soixante-dix hectares en prairie, son séchoir à foin Novations AGL lui permet de réduire ses passages au champ, d’être moins dépendant de la météo et, surtout, d’offrir à ses clients du foin de très grande qualité.
« Dans le commerce du foin, l’aspect esthétique est primordial. La couleur et l’odeur font foi de tout, souligne M. Patenaude. Quand tu as un bon séchoir, tu es sur que ton foin sera sec et vert. »
Pour le producteur, les coûts de séchage sont d’environ 10$ à 15$ la tonne. Il assure cependant avoir un excellent retour sur investissement, puisque qu’un foin de meilleure qualité vaut plus cher. « Je me suis bâti une solide réputation grâce à mon séchoir à foin. Mes clients ne vont jamais me revenir en me disant que mon produit, finalement, était tout moisi. Mon foin est toujours de qualité. C’est comme ma marque de commerce », illustre Réjean Patenaude qui vend son foin à des commerçants et des éleveurs de chevaux.
Déjouer Dame nature
Le séchoir à foin Novations AGL permet à Réjean Patenaude de mieux prévoir son travail. « Avec les changements climatiques, on a de plus en plus de changements de température subits, dit-il. Le séchoir, ça t’enlève du stress, parce que tu es moins dépendant de la météo. »
Comme le producteur peut faire un fanage de moins, il passe moins de temps au champ. Ultimement, il souhaite faire du foin en seulement 48h.
Le producteur de foin de commerce apprécie la polyvalence du séchoir de foin Novations AGL. « Ce qui existait avant, c’était des bâtiments. Ce que Novations AGL propose, c’est un équipement. C’est beaucoup plus flexible comme solution. Les producteurs peuvent d’ailleurs ajouter des unités de séchage selon leurs besoins. »
Réjean Patenaude, qui travaille sur des fermes de grandes cultures depuis qu’il est tout petit, ne retournerait jamais en arrière, à l’époque où le séchage du foin était un véritable casse-tête.
LA QUALITÉ ET LES PROFITS
Avec ses 210 hectares en culture de foin, ses deux sites d’engraissement de porcs et sa famille, Michaël Simard n’a pas de temps à perdre. Avec son séchoir à foin Novations AGL, il garde le contrôle sur sa production.
Ancien maçon et fils d’agriculteurs, Michaël Simard s’est lancé dans l’aventure du foin de commerce en 2016 après avoir acheté des terres à Compton et Coaticook en 2013. « J’ai décidé de faire du foin, parce qu’on s’arrange nous-même avec notre production et notre mise en marché », explique le jeune homme. Son séchoir à foin lui permet d’avoir un meilleur contrôle sur la qualité de sa production.
Pour limiter ses besoins en main-d’oeuvre, le producteur a opté pour des grosses balles de 3X3X8 pieds. En première coupe, le séchoir permet d’allonger les journées de pressage ou de profiter de fenêtres de récolte plus courtes. Le séchoir est indispensable en 2e coupe, puisqu’il y a moins d’heures d’ensoleillement et donc un moins bon séchage au champ.
« Du foin de qualité, ça me permet d’obtenir le meilleur prix sur le marché. Maintenant que j’ai mon séchoir à foin, je sais que je vais toujours avoir de la qualité », indique Michaël Simard.
Il investit en moyenne 25$/tonne pour sécher son foin. Ces mêmes balles sont ensuite vendues à un meilleur prix.
« Mon séchoir, ça me garantit un bon prix, mais ça m’assure surtout d’avoir un foin de bonne qualité et que mon client va revenir me voir l’année prochaine. »